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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 07:44

 

Un pas, deux pas, trois pas

 

et moi, je regardai 

toute émerveillée.

Dans mon assiette ? 

des poivrons rouges

farcis à la brandade de morue.

Vous n'êtes pas venus ?

Tant pis pour vous.

Vous auriez appris à dancer (prononcer "dantsé").

C'était une formidable soirée repas-dance

organisée

pour "mieux vivre à Malartic",

par notre association de quartier.

Bravo aux organisateurs

et aux artistes.

sans oublier le photographe !

 

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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 20:05
Croyez-vous aux sirènes ?
en avez-vous déjà vues ?
Avez-vous bien regardé
tout au fond de l'eau
des étangs ou de l'océan ?
Vous êtes vous parfois attardés,
le soir, au bord des rives
pour regarder le soleil couchant 
donnant son rouge
à la surface nacrée de l'eau ?

Il donne à la belle
le fard pour ses lèvres

Les sirènes sont des princesses.
Elles vivent dans les eaux
grâce à leur robe d'écailles
toutes vernies de bleu.
Elles ont, ondines, 
la sveltesse des poissons


C'est un poème de mon père. Il aime lui-aussi les princesses !
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21 septembre 2008 7 21 /09 /septembre /2008 19:53


Jess
est un petit prince charmant qui sait très bien dessiner et Leslie est une princesse un peu plus grande qui sait très bien imaginer des histoires ; la preuve qu’ils sont prince et princesse c’est qu’ils sont tous les deux très beaux et qu’ils ont des secrets à eux. Moi aussi, comme eux, j’ai plein de secrets !


Ce film est sorti en mars de l’année dernière (2007) sous le nom " Le Pont de Térabithia ", un drôle de pont pour franchir une rivière et qui conduit à un royaume, celui de Térabithia, avec pleins de géants et de monstres …

J’ai vu le film en plein air, dans un parc municipal avec un écran géant et plein de hauts parleurs tout autour de nous. C’était féerique ! Je vous invite à aller voir ce très beau film.


Et puis, la professeur de musique de Jess et de Leslie est très gentille et chante comme une grande princesse ...

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31 janvier 2008 4 31 /01 /janvier /2008 06:39
art-manga.jpgLa jalousie 
est-elle toujours 
une preuve d'amour ?

La jalousie 
rend l'amour aveugle
Et tu ne sais plus quoi faire dans la vie.

La jalousie 
est une maladie de l'amour.

Ce n'est pas bon d'être jalouse.

J'ai écrit ce poème
le 7 février 2004
longtemps 
après avoir souffert
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24 novembre 2007 6 24 /11 /novembre /2007 09:19

 

Mon papa n'est pas instituteur, mais il sait conter des histoires   à ses petits-enfants ; et voici sa dernière trouvaille : une histoire de chiffres qui sont comme des petits lutins ! Il l'a racontée à Isia qui est ma petite nièce de 6 ans.

 

Il a ramené cette histoire, m'a-t-il dit, d'Oberwesel en Allemagne où il a été passé plusieurs jours. Il y a vu une maison pleine de chiffres, du moins sur la façade.  C'était la maison d'un peintre qui admire Dali - vous savez, le peintre qui a des moustaches bien pointues ... Peut-être calligraphiait-il ses chiffres du bout de sa moustache ?

 

Voici donc cette histoire à la Dali :

 

Les chiffres qui vont à l’école

Isia a 6 ans

Cette histoire des chiffres sans les lettres

Mais qui vont quand même à l’école

C’est pour elle, pour la faire rire

Pour entendre son petit rire espiègle

 

 

Isia, sais-tu compter, de 1 à 9 ?

Sais-tu écrire les chiffres, 1 et puis 9 ?

Sais-tu reconnaître tous les chiffres, de 1 jusqu’à 9 ?

Et puis bien les regarder, 1 à 1 ?

 

 

 

Si tu les regardes bien, 1 à 1,

Alors tu verras que ce sont de petits lutins

Qui se sont tout assagis pour aller à l’école,

En se glissant dans le cartable des enfants.

 

 

Regarde le 1 comme il se tient bien droit comme un " i ",

Et puis le 2 qui esquisse un pas de deux avec son pied bascule,

Et voilà le 3 qui entre en classe bien habillé, tout en rondeur, bcbg

Et le 4 qui est déjà sur sa chaise ! tiré à quatre épingles

Et le 5, pourquoi court-il donc les cheveux tout au vent ?

Le 6, c’est le plus gourmand de la classe avec son gros ventre.

Le 7 est tout fier avec sa casquette sur la tête,

Comme un petit chef qui a mis son uniforme !

Mais le 8 a déjà pris la première place.

Il trône sur l’estrade en regardant tout le monde avec ses grosses lunettes.

Le plus intelligent de toute la classe, c’est le 9

Car il a la tête bien pleine !

Le 9 pense avec sa grosse tête, alors que le 6 panse avec son ventre en avant !

C’est pour cela qu’on dit que son ventre est une panse …

 

 

 

 

Et maintenant, nous allons faire une petite révision :

Qui se tient le plus droit ?

Qui danse le mieux ?

Qui s’habille bien ?

Qui s’est assis en premier ?

Qui courre le plus vite ?

Qui mange de trop ?

Qui a mis sa casquette ?

Qui porte des lunettes ?

Qui est le plus intelligent ?

 

 

 

 

Ah, on a oublié un chiffre ! C’est le zéro,

Il est tellement nul, tellement zéro

Qu’on ne le voit même pas !

Où est-il ? avant le 1 ou après le 9 ?

Ou bien toujours caché derrière un autre chiffre ?

Eh oui, c’est là qu’il se cache

Le 10, le 20, le 30, le 40, le 50, le 60, le 70, le 80, le 90 ….

 

 

Voilà qu’avec lui tu sais compter maintenant jusqu’à 90 !

Merci le zéro avec qui tu as fait de la magie !

Grâce à lui, les chiffres deviennent plus grands, beaucoup plus grands,

C’est comme s’il les aidait à grandir, beaucoup, beaucoup, beaucoup …

 

 

 

 

Le Grand-Père pour sa petite Isia,

un soir qu’il pensait à elle

parce qu’elle allait rentrer à l’école.

 

 

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23 novembre 2007 5 23 /11 /novembre /2007 19:13

Le meunier a dit à ses enfants :

 

Mes enfants, il faut travailler. Il faut tout faire dans le droit chemin, faire un métier vaille que vaille, de l'esprit ou de la main. Il n'y a pas de point perdu ni d'inutile. De voir la récompense, si nous savons bien la valoir. Travaillons donc sans faiblesse. Ne plus travailler, c'est mourir.

 

 

Je me souviens avoir appris ce texte lorsque j'étais à l'école primaire au Togo.

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17 mars 2007 6 17 /03 /mars /2007 10:51

Voici une seconde poésie de mon amie Chaïma. Cette fois-ci, elle parle des bonnes relations entre les animaux :

 

Mon amie

la fourmi

s'est endormie

elle a trop ri

avec son amie

la souris

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 09:09

Le chat de Chaïma a de drôles de yeux quand il vous regarde. Peut-être vient-il de Tunisie car mon amie est d'origine tunisienne. Voici, ce que m'a dit mon amie en confidence. Elle m'a dit que c'était un chat solaire, qui transportait le soleil dans ses yeux avec ses drôles de yeux.

Voici le poème qu'elle m'a confié.

 

Le chat et le soleil.

Le chat ouvrit les yeux, et le soleil y entra.

Le chat ferma les yeux, et le soleil y resta.

Voilà pourquoi, le soir, quand le chat se réveille,

j'aperçois dans le noir, deux morceaux de soleil.

 

C'était un bien étrange poème de Maurice Carême, susurrée à mon oreille par mon amie Chaïma

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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 10:22

Guillaume est musicien en danse africaine et il s'est spécialisé dans les instruments à percussion. Son instrument chou-chou, c'est le djembé. Il en parle dans son site "Percu Web" dont il vient de m'en donner les références : http://www.percu-web.com/ WWWouah, c'est un site super ! Voici ce que Guillaume a écrit :

Le "djembé" est un instrument à percussion uni-membranophone d'origine africaine. Il fait partie de la famille des tambours à peau. Il est de plus en plus démocratisé. Il se compose d'une pièce de bois dit "le fût" en forme de calice recouvert d'une peau de chèvre, d'antilope ou plus rarement de vache. La peau est fixée au fût par un système de tension composé de corde et de cerclage en ferraille (anneaux métalliques).

oeuvre plastique de François, dit Le Vannier,  artiste béninois (Porto-Novo) : "la fée aux cauris"

 

Le djembé nous vient de l'empire Mandingue (Afrique de l'Ouest), mis en place par Soundjata Kéïta au 13ème siècle.

A l'origine, le djembé est joué lors d'événements spécifiques très codifiés tels que les mariages, baptêmes, circoncisions, récoltes, etc. Les percussionnistes jouent des rythmes propres à chaque occasion et chaque groupe ethnique possède ses propres codes. Ceci explique en outre la multiplicité de variantes présentes pour un même rythme et les différences de placement des lignes et des phrasés d'une ethnie à une autre.

Le djembé fait partie d'un ensemble poly-rythmique, et ne se joue que très rarement, voir jamais, seul. Les composantes d'un ensemble poly-rythmique sont le doundounba, le sangban, le kenkeni, plusieurs djembés d'accompagnements et un djembé soliste (en général). De plus, il est indissociable de la danse dont les phrases du soliste marquent les temps.

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3 mars 2007 6 03 /03 /mars /2007 11:03

Je participe à un groupe de poésie à la Maison des jeunes et de la culture de Malartic comme je l'ai déjà dit et, en été 2005, j'ai écrit ce poème.

 

 

 

 

 

 

 

Au pied de notre arbre,

Souvent on y palabre,

Pour se dire bonjour,

Pour la vie toujours,

Et ce gentil chien,

Qui se cache derrière

La grosse pierre

N’est-il pas le tien ?

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